Mardi, 11 septembre 2001

Un mardi qui débute comme tous les autres jours de la semaine. Chaque personne se rend à son travail et moi à l'école. Je n'avais que 11 ans le jours où ces attentats se sont produits, je ne pouvais donc pas prendre connaissance de l'impact de cet événement.

Ce n'est qu'un an plus tard que je réalise la grandeur de cette catastrophe lorsque le 11 septempbre 2002, à l'école, nous prenions une minute de silence pour tous les gens morts et affectés par cette journée. C'est aussi à ce moment que j'y porte plus attention et que je me pose beaucoup de questions: Pourquoi est-ce arrivé? Qui est derrière tout cela? Je cherche alors les réponses à mes questions. Premièrement, comme tout enfant, je demande à mes parents, mais leurs opinions ne me conviennent pas. Ensuite, j'écoute tous les reportages qui ont un lien avec cet événement. Après observation attentive de tous ses aspects ironiques qui semblent réalistes, j'en conclue qu'il pourrait très bien s'agir d'un complot.

Avions-nous peur de l'ampleur de ces attentats? Qui n'avait pas peur plutôt? Un tel événement suscite beaucoup d'attention. On ne sait jamais ce qui peut arriver par la suite. Tout le monde panique, tout le monde est inquiète. On ne peut passer à côté de ce moment qui, à jamais, marquerais le début du 21e siècle et surtout la base de l'économie américaine.

Ainsi, les médias se font un plaisir de transmettre ces importantes informations qui se doivent d'être publiées au monde entier. On est tous d’accord pour affirmer que ce que l’on voit aux bulletins télévisuels, c’est trop. D’un autre côté, il faut bien que quelqu’un nous informe de cette tragédie. Dans tous les domaines, ou presque, les journalistes exagèrent les événements. Or, je ne crois pas que cette fois, ils aient fait autrement. Par exemple, les nouvelles se rattachant aux attentats sont très stéréotypées par rapport aux musulmans et à l’Islam. Oussama Ben Laden est bel et bien de cette religion, cela ne veut pas dire que tous les musulmans sont des extrémistes, des talibans.

Chacun, chacune est d’une façon ou d’une autre est touché, marqué par les attaques sur le World Trade Center. Soit parce qu’on est triste pour toutes ces personnes qui ont perdus la vie ou celles qui ont perdus un être cher. Les Américains des États-Unis sont quand à eux, tristes puisqu’on leur a enlevé un monument, un symbole économique, une source de revenus, seulement un immeuble ou encore le prestige d’avoir une des plus hautes construction dans le monde. Chose certaine est que le chinois, le canadien, l’arabe, le juif n’ont pas la même perspective sur l’incident produit.